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Inspirée par l’amour de la photographie humaniste d’après-guerre, et mettant à profit ses talents de manipulateur numérique, la dernière de ses séries de photographies artistiques s’appelle « Les tout petits métiers ». Dans celle-ci, il se met en scène comme le protagoniste principal d’une myriade de petits métiers imaginaires : «repêcheur de pépins », « gonfleur de citrouilles » ou encore « leveur de soleil ».
Né en 1975, Yann Pendariès est originaire d’Orléans. Parcourant la ville durant son adolescence il réalise ses premiers clichés en noir et blanc. Grâce aux origines tchèques de sa mère, il va découvrir dans les années 2000 sa famille en Bohême méridionale et à Prague ; son oeil durant ses voyages va s’aiguiser et ses clichés vont commencer à prendre un sens certain vers la photographie humaniste.
Suite à sa formation, il travaille pour de nombreuses entreprises et agences de communication, réalisant ainsi des reportages, des photos de joaillerie, vins et champagnes, des campagnes publicitaires, et de la photographie corporate. Ne perdant jamais son goût pour la photographie artistique il réalise plusieurs séries et projets personnels : « My tree, my roots » où il capte des arbres solitaires dans la campagne, et qui lui évoquent ses origines lointaines, mais fixées en lui comme les racines des arbres à la terre ; « Le tour d’Europe en montgolfière en 80 jours », une fiction de voyage à travers le ciel et les villes d’Europe ; « Les fontaines Wallace à Paris », un hommage à la photographie humaniste d’après-guerre ou un Paris du 21e siècle se transforme en un Paris du 19e ; et bien sûr la toute dernière de ses séries « Les tout petits métiers ». Une série poétique d’autoportraits dans laquelle il se met en scène comme l’acteur principal de métiers miniatures imaginaires. Cette charmante série à l’univers ludique et créatif remporte actuellement un franc succès auprès des amateurs de photographies artistiques et originales en Europe, Amérique du Nord et Australie.
Après plus de 10 ans de vie parisienne, il décide de quitter Paris pour venir s’installer dans un petit village de Bourgogne, près de Nevers, et continue à créer des univers imaginaires et insolites.
Créé en 1972, le musée de Bressuire enrichit régulièrement ses collections par des acquisitions et des dons.
2 grands axes sont privilégiés :
l'histoire locale les arts du feu : céramique de Saint-Porchaire et ses prolongements et le travail du verre par Max Ingrand
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A BRESSUIRE |
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 Vitrail Les pèlerins d'Emmaüs - 1964 |
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| A MAULÉON | ||
 Calice de Sourdis - Milieu du XVIIIème siècle |
 David - Grenadier - Fin du XVIIIème siècle |
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| Chapelet - XIXème siècle |
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 Plaque de négociant - Fin du XIXème siècle |
 Pistolet - Fin du XVIIIème siècle |
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Installé dans les anciens greniers à grain de la ville, le musée évoque l’histoire du bocage au travers des découvertes archéologiques récentes et des œuvres d’art (sculptures, peintures, orfèvreries…) majoritairement produites dans le bressuirais.
Une importante collection de céramiques, représentative de la production locale ‘Saint-Porchaire’ est exposée. Elle s’étend des bassins et pots médiévaux aux faïences de Parthenay et créations de Minton du XIXème siècle, inspirées des célèbres productions du XVIème siècle.
Bressuire est aussi la ville natale de Max Ingrand, (1908-1969) est un des plus grands verriers et vitrailliste français du XXème siècle. L’exposition organisée à l’occasion du cinquantenaire de sa mort en 2019 a permis de revisiter complètement l’espace qui lui est consacré. De nouvelles acquisitions (une table, des plaquettes de verre…) sont également à découvrir. (Retrouvez ici les expositions)
Le musée s’appuie sur la grande variété des collections issues de celles réunies par le BRHAM au fil des ans. Il raconte aux habitants et aux touristes, ce qu’est le Bocage : un paysage, une histoire...
Laissez-vous guider par une équipe passionnée qui vous embarque pour un voyage dans le temps !
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- À la découverte de l'histoire du Bocage
Accueilli par l’Office de tourisme, le visiteur descend dans la magnifique cave voutée et plonge dans les temps très anciens (géologie, préhistoire, protohistoire). Cet espace accorde également la part belle aux rochers des Vaulx, monumentaux. Un tunnel, conçu spécialement pour les enfants, donne à comprendre le paysage de bocage.
Une salle attenante, à l’ambiance feutrée, évoque la culture populaire en bocage (contes, chants, musiques) et l’écrivain emblématique Ernest Pérochon. La visite se poursuit au 1er étage avec 4 espaces, retraçant l’histoire du Mauléonais du Moyen-Age jusqu’aux Guerres de Vendée, puis l’industrialisation du XIXème siècle mettant en valeur nombres d’outils utilisés à l’époque. La chapelle attire très vite tous les regards… On y découvre l’histoire religieuse avec de précieuses pièces d’orfèvrerie, mais aussi les légendes et croyances. Et comme un clin d’oeil au passé, la visite se termine avec l’atelier du cirier et les nouvelles technologies… du XIXème siècle.
Une vraie expérience pour le visiteur
Le musée est un lieu de découverte à la fois convivial et scientifique. " Riche de contenus pédagogiques variés, il offre au visiteur la possibilité de contempler des oeuvres, de manipuler des objets, d’écouter des archives sonores tout comme de consulter des bornes interactives. Passé, présent et avenir du bocage Mauléonais y sont présentés, au travers d’archives, de témoignages et de souvenirs… et même des sens grâce aux surprises des tiroirs du parcours enfant " souligne Agnès Badiche, scénographe du musée. Odeurs, sons, toucher… tous les sens sont ici émoustillés.
Le musée propose ainsi une vraie expérience au public, tant esthétique que didactique.
Un musée pour toute la famille grâce à des outils innovants
Avec son entrée gratuite, son parcours enfant, son audioguide en 3 versions (français – anglais et enfant), ses outils numériques, des manipulations, le musée s’adresse à toute la famille, à chacun selon son rythme et ses envies.
Le visiteur est tour à tour spectateur et acteur, au sein d’un parcours qui suscitera ou renforcera son attachement au bocage bressuirais.
BUDGET GLOBAL : 3 062 665€ HT
• Musée : 57%
• Médiathèque : 39%
• Office de tourisme : 4%
Subventions :
• Etat - DGD - DRAC : 596 301,37€ pour la Médiathèque
• Conseil Régional Nouvelle-Aquitaine : 300 000€ pour la Médiathèque et 248 200€ pour le Musée
• Conseil Départemental (CAP79 notamment) : 421 222€
• Fonds de concours Mauléon : 260 000€
Les musées de l'Agglomération du Bocage Bressuirais mènent une politique active d'enrichissement des collections par des acquisitions et des dons.
Les acquisitions bénéficient de l'aide de l'État et de la Région Nouvelle-Aquitaine (Fonds Régional d'Acquisition).
Nous vous proposons de découvrir une sélections de ces objets.
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2017 |
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2016 |
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 Vue de Bressuire d'après Edouard Holstein - Milieu du XIXème siècle |
L'Agglomération du Bocage Bressuirais
Située au Nord ouest de la Région Nouvelle Aquitaine et des Deux-Sèvres, au carrefour de la Vendée, de la Loire-Atlantique et du Maine et Loire, la Communauté d'Agglomération du Bocage Bressuirais (33 communes, 76 452 habitants) est présente dans de nombreux domaines de la vie quotidienne : transport, urbanisme, assainissement, déchets, développement durable, économie, enfance, personnes âgées, culture, bibliothèques, salles de spectacle, conservatoire de musique, musées, centres aquatiques, tourisme...